Cette semaine je vous propose une petite réflexion sur notre thème. Tournant autour de la lumière artificielle et les luminaires comme objet important dans notre intérieur ; plusieurs fois il m’est arrivé de me requestionner sur cet intérêt, qui donne l’impression d’exclure la lumière naturelle. Et pourtant pendant une grande partie de notre journée (en fonction de la saison) elle nous permet certaines facilités.

 J’ai même envie de remonter au temps d’avant l’ampoule et l’électricité et à l’origine de l’expression « couvre-feu » qui déterminait la fin des activités de la journée. Compte tenue de la situation actuelle nous avons assimilé ce mot à une interdiction de sortir alors qu’avant cette nouvelle adaptation du terme, il faisait tout à fait sens avec sa fonction, en effet dans plusieurs villes encore au XIII eme siècle, à une certaine heure les « feux » de la ville étaient couverts, et cet acte signifiait qu’il fallait rentrer chez soi.

Il est donc évident que même si nous la prenons pour acquise, la lumière naturelle est très importante dans notre quotidien. Nous nous en rendons compte encore plus lorsque nous nous intéressons aux nouvelles constructions et orientations des bâtiments qui permettent un grand apport de lumière naturelle en journée. Je vous propose donc de vous présenter Tokujin Yoshioda, un designer Japonais, qui travaille avec la lumière naturelle mais aussi qui la questionne. En effet la lumière que nous connaissons est un ensemble de plusieurs couleurs, chose qui peut être facilement prouvée à partir d’un prisme. Ainsi, je vous présente « Prism » une installation de pièces en cristaux.

Suite à cette magnifique découverte, je me suis souvenue d’une expérimentation photographique faite durant l’année scolaire 2018-2019 qui exprimait un questionnement par rapport à la transparence des matériaux et leur réaction à la lumière(artificielle), j’ai fait un parallèle à la session glace, de cette expérimentation.

En espérant que vous avez passez un moment de découverte comme moi,

A bientôt